Gyukkaku Haraka, Taika

Nom : Haraka

Prénom : Gyukkaku

Age : 21 ans

Surnom : Bibi

Titre de noblesse : n/a

Royaume natal : Han

Race: Taika

Classe : Guerrier

Caractère : Gyukkaku est calme d'apparence, mais montre assez vite ce qu'il ressent. Susceptible mais pas idiot, il se battra si la situation lui semble soit à son avantage, soit kif-kif. Il aime la difficulté (mais pas trop), et n'hésitera pas à relever tout ce qui lui semble être un défi. Il ne cesse de se remettre en question, mais n'appréciera pas que les autes le fassent à sa place ; il est toujours à se fixer ses limites, qui sont généralement au-delà du raisonnable. Tête brûlée sur les bords, il tient beacoup à ses amis, et surtout à celui qu'il considère comme son frêre, Akkonshu. Il est aussi très vindicatif, et se souvient toujours de ceux dont il voudra se venger.

Physique : Gyukkaku est grand, et aime beaucoup son corps. Amateur de sports physiques, il s'est sculpté une carrure musclée, et est assez souple. Il a les yeux verts, pétillants; on a toujours 'impression qu'il est réveillé, et en pleine forme. Ses cheveux noirs mi-longs retombent en mêches, et Gyukkaku aime à s'attacher un bandeau autour du front pour se dégager la vue (on le comprend :p). Avant de passer dans le Shoku, ses cheveux étaient bruns, et il avait la peau bien plus claire; il se retrouve avec un teint plus hâlé. Une fine cicatrice lui marque la joue, souvenir peu agréable d'une séance de kendo plus brutale que les autres. Un long tatouage noir de dragon lui décore le bras gauche. Il aime bien s'habiller en vêtement de sport, lui permettant des mouvement plus fluides, mais ne rechigne pas à porter le kimono (ça le détend).

Histoire : Gyukkaku est né à Tokyo, dans une famille on ne peut plus normale. Son pêre était professeur de sport au lycée voisin, sa mêre femme au foyer. Il passa une enfance quelque peu agitée, passant le plus clair de son temsp à s'entraîner. Son pêre ne le lachait pas souvent, et il l'amenait dès que faire se pouvait au complexe sportif. Amateur de sports de combat, son pêre lui enseigna le Kendo et lui donna des notions de Quiang. Mais cela ne suffisait plus au jeune Gyukkaku, qui en voulait toujours plus. Il se mit à l'Aïkido, et développa ainsi ses compétences physiques.

Il faut dire que l'école le blasait. 'Pas intéréssant. Il traîna pendant quelques tempq avec des petites frappes de quertier, s'imposant chef de quelques bandes miteuses composées de voyous des bas-quartiers. Un jour qu'il était parti avec sa bande terroriser les poubelles d'un quartier, il tombèrent sur un autre groupe de jeunes. L'esprit enbrumé par le saké de Gyukkaku ne mit pas longtemps avant de considérer les inconnus comme les pires ennemis du monde. Il beugla quelques ordres à ses suivants, qui se lancèrent à l'assaut du groupe, sans réfléchir.

Akkonshu Akigara était vraiment, mais alors vraiment énervé. Il avait passé une sale journée, il venait de se faire larquer par sa copine et en plus des abrutis voulaient lui taper dessus. Il marmonna, mais ses camarades du club de capoeira furent plus rapides. Quelques coupsbien placés plus tard, Gyukkaku était le seul encore debout. Maintenant déssoûlé, et bien conscient de sa situation quelque peu désespérée, il se mit en tête de défier en duel le meilleur du groupe, qui n'était autre qu' Akkonshu. Calmé, ce dernier accepta, et le combat commença alors.

En plein milieu d'une rue, par une nuit de primtemps, deux adolescents se font face à face. Un chat, installé sur une brache de cerisier à côté de la scène, les observe en silence. Le silence. Il se fait de plus en plus pesant. Une brise légère souffle, des pétales roses flottent dans l'air, baignant les deux combattants éclairés par un lampadaire de leurs éclats colorés, la lumière orange se reflétant sur la rosée de la nuit. Tous deux adoptaient une garde différente, ne bougeaient pas, ne cillaient pas. Gyukkaku partit le premier, comme une flêche. Il fit une feinte en frappant de son poing vers le visage de son adversaire, qui para sans peine l'attaque, ainsi que le deuxieme poing. Mais Gyukkaku se jeta à terre, et lui faucha les jambes par un coup de pied circulaire. Grave erreur : Akkonshu, retombant sur ses mains, put à loisir envoyer ses deux pieds de toute ses forces à l'encontre de son adversaires.

Un bruit sec, suivi d'un bruit plus mat. Gyukkaku ne comprenait plus trop ce qui se passait, mais il avait mal. Surtout à la tête, en fait. De rage d'avoir été ainsi humilé, il grinça des dents? Tiens, quel goût bizarre... Le con. Apres avoir été envoyé bouler dans l'herbe, il se mettait à la mâcher. Beurk. Maintenant défoulé, Akkonshu s'épousseta, puis se dirigea vers le vaincu, et lui tendit la main. Trop fier pour admettre sa défaite, Gyukkaku la saisit et la tire vers lui. Une fois son adversaire à terre, il lui fit une solide clé au bras. Le silence revint au galop. personne ne bouge. Avec un soupir mi-figue mi-raisin, il relâcha sa prise, et tous deux finirent par repartir. Chacun de leur côté.

C'est à partir de ce jour que Gyukkaku s'entraina à la capoeira. Le temps faisant, il finit par tisser des liens avec Akkonshu, et tous deux devinrent les "meilleurs amis du monde". Grands amoureux de musique tous deux, ils jouaient de la guitare ensemble. Un jour qu'ils rentraient tous deux d'un concert donné par leur lycée, en passant par le port, une vive lumière les saisit. Gyukkaku se sentit aspiré, et sombra dans l'inconscience.
Il se réveilla sur une plage de sable fin. Ses premiers contact furent laborieux ; il passa pour un excentrique en premier lieu, avec ses vêtements étranges et sa guitare sur le dos. Totalement perdu, Akkonshu disparu, il ne savait plus quoi faire.

Quel endroit étrange, décidément! On ne devait pas être au Japon, ici... En plus, il en se reconnaissait plus : ses cheveux étaient devenus noirs, sa peau avait pris une teinte hâléeTant bien que mal, gyukkaku se fit peu à peu à sa nouvelle vie, si bien qu'un mois seulement après être arrivé dans le royaume de Han, grâce à ses compétences musicales et physiques, à force de spectacles, et surtout grâce à la générosité des habitants, il put s'acheter un petit bateau en guise d'habitat. Il s'était trouvé un petit coin dans le port où s'installer, et se lança dans le petit commerce de poissons le jour. La nuit, il était en ville, jouant de la musique. Mais une envie ne le quittait pas ; il y pensait à chaque fois qu'il s'entraînait : retrouver Akkonshu.

Il y passa du temps, mais un jour vint où il put s'offrir une lance. Apres avoir passé de nombreux jours à pêcher, il fut en possession d'un stock de poisson séché suffisant. L'argent, il était parti dans la lance, et dans l'entretien de son bateau. La volonté, elle ne manquait pas : il voulait partir, explorer cette terre inconnue, se faire une réputation et, qui sait? Retrouver Akkonshu? Se faire d'autres connaissances? Qui sait ce que le destin lui réservera.

Famille/ennemis/amis : Plus de famille, pas encore d'ennemis, à part ceux qui savent qu'il vient de l'autre monde et qui bien évidemment n'aiment pas ceux qui en viennent.



Niveau: 5

Caractéristiques de base : (De base: 25 points à distribuer au choix dans les 3 caractéristiques ci-dessous)

Force : 9 => 33 Constitution : 8=> 20 Points de vie : 8=> 88



Arme(s) possédée(s) : Une Lance, mais Gyukkakyu aime aussi beaucoup se battre avec ses poings et ses pieds.

Armure(s) possédée(s): n/a

Objet(s) possédé(s): n/a

Kijyuu/Shirei possédé : n/a

Nom :
Niveau :
Caractéristiques :
Compétence(s) spéciale(s):

[ armures et armes de base peuvent être choisies dans les magasins spécialisés. Je le précise au cas où ]